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NOTRE PHILOSOPHIE

Miloa offre à vos compagnons des solutions végétales innovantes, naturelles pour améliorer leur santé et leur bien-être.

La devise de Miloa c’est « La passion, sans concession ». Miloa s’engage à utiliser les ingrédients et les nutriments les plus purs, les plus innovants et les plus respectueux de l’environnement.

La gamme de produits Miloa répond à plusieurs thématiques de santé et de bien-être. Les produits ont par exemple pour cible la convalescence et la récupération des sportifs, le cœur, les reins, la mobilité, les organes de la digestion, les manifestations d’anxiété et les altérations comportementales chez l’animal âgé.

La gamme Miloa est en constante évolution. Cette dynamique est insufflée par notre comité scientifique, notre collaboration étroite avec nos confrères praticiens et nos recherches.

« Miloa, c’est les pieds dans la clinique, le cœur sur la table de consultation et la tête dans la science ».

LA NAISSANCE
D’UNE VOCATION « VÉTÉRINAIRE »

L’histoire de Miloa, c’est l’histoire du Docteur Vétérinaire Estelle Lhoest, c’est mon histoire.

Les racines de Miloa puisent leurs forces dans le terreau de mon enfance dans un petit village belge, au cœur de la Hesbaye entre Liège et Bruxelles, Stockay Saint-Georges. Enfant à la santé extrêmement fragile, je n’allais pas beaucoup à l’école.

Mes compagnons de jeux étaient poilus ou à plumes. Pour m’occuper, mon grand-père m’emmenait, emmitouflée sur son vélo, parcourir les campagnes. Ensemble, nous observions au fil de nos escapades et de nos discussions avec les fermiers, le rythme immuable des saisons.

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J’ai développé très jeune un sentiment de déférence vis-à-vis de la nature. L’homme est bien impuissant et faible face à la force des éléments. Il ne peut rien contre les morsures du gel, les étés pluvieux, les orages dévastateurs ou les appétits féroces des rongeurs et des oiseaux chapardeurs.

Le plus souvent possible, nous allions réconforter, câliner, gâter, brosser tous les animaux des alentours. Du cheval aux chèvres en passant par les moutons et les vaches. Personne n’était oublié. Mon grand-père, Henri, était passionné d’ornithologie comme avant lui son père, Gustave. Nous avions toujours à la maison des oiseaux estropiés, des blessés de la vie ou des oisillons tombés du nid.

C’est à cette époque qu’il a été gravé que je serai vétérinaire ou ingénieur agronome.

Et puis, la catastrophe. La maladie fulgurante, plus grave, contagieuse et l’hospitalisation en quarantaine. La douleur incompréhensible d’une enfant de 5 ans, prisonnière d’une chambre si loin de ces grands espaces que le vent parcourt sans obstacle. Avec cet enfermement, la révolte était puissante, sourde contre ces médecins qui parlaient de moi comme d’un objet inanimé.
À ce moment précis, je me suis juré que, adulte, plus jamais personne ne parlerait de ma santé comme de l’état d’un meuble et que je comprendrai les mécanismes qui rendent malades et les principes qui soignent. Voilà comment naît une obsession : l’obsession du chercheur.

L’obsession de comprendre, d’analyser, de trouver des solutions à des problèmes considérés comme insolubles sans jamais se décourager.

Durant mon adolescence et mes études de vétérinaire, mon chemin a croisé celui de nombreux passionnés. Acteurs de leur vie, brillants, enivrés par leur travail comme d’autres par le vin ou l’air du large. Ils m’ont donné le goût d’apprendre, de comprendre, de donner sans limite, de se surpasser, de partager. Je leur dois beaucoup. Je pense à eux bien souvent.

La pratique médicale m’a confrontée à la vraie vie : celle des victoires, de l’espérance, du don de soi, des souffrances, de l’acharnement, des injustices, des nuits blanches à veiller des patients ou à se torturer les méninges pour trouver le meilleur traitement.

Comme tous mes confrères le font au quotidien, j’ai mené la plus dure des batailles. Celle dont l’issue finale est inexorablement toujours inéluctable, celle dont on ne guérit jamais. Je les ai toutes menées avec la volonté de grappiller un peu de temps et surtout de la sérénité pour mes patients et leurs compagnons humains. La mort est pour nous comme le temps pour Charles Baudelaire : « Elle gagne sans tricher, à tout coup ! C’est la loi ».

Notre métier est magnifique mais terriblement difficile à exercer.

En écrivant ce texte, j’ai lancé une bouteille à la mer. J’ai demandé à mes amis et connaissances vétérinaires (800 personnes) de me décrire leur métier, notre métier, en 3 mots.

Voici ceux qui sont revenus le plus souvent : passion, ingratitude, dépassement, compassion, frustration, responsabilité, confiance, utilité, contact, challenge, émotions, bonheur, stress, satisfaction, sacerdoce, charge mentale, valorisation, fatigue, échange, évolution, pression, patience, psychologie.

Décidément, ce boulot dont je suis fière ne ressemble à aucun autre !

J’ai aussi rencontré beaucoup de chiens, chats, chevaux, ânes, bovins, moutons, poules, canards, tortues, éléphants extraordinaires, courageux, attachants, généreux, complices, affectueux. Je leur dédie ma vie. Ils me donnent la force, l’énergie de développer sans relâche des solutions nouvelles toujours plus innovantes et performantes.

C’est pour eux, qu’en février 2011, j’ai décidé après 5 années de recherches et l’obtention de 3 diplômes supplémentaires (Diplôme Études Approfondies en Nutrition et Master en Animaux de Laboratoire à l’Université de Liège et Diplôme Universitaire en Phytothérapie et Aromathérapie à l’Université de Clermont-Ferrand) de créer un laboratoire, mon laboratoire. Sa valeur fondatrice, son socle : « La passion sans concession ».

« J’ai fondé Miloa parce qu’à l’issue de mes 5 années de recherches, j’ai acquis la conviction que l’avenir du bien-être et de la santé pour mes patients réside dans les végétaux. »

Merveilleux d’ingéniosité, leur génome est bien plus complexe que celui des animaux. Cela les rend capables de s’adapter, de trouver des stratégies face à l’hostilité de leur environnement même s’ils ne peuvent pas prendre leurs jambes à leur cou.

Ils poussent partout même dans les conditions les plus extrêmes : désert, sommet montagneux, bord de mer, cratère de volcan, geyser. Sans patte, ils voyagent grâce aux animaux et au vent.

Ils nous enivrent de leurs parfums délicats, leur beauté nous subjugue et ils nous nourrissent. Ils semblent sans défense… et pourtant, ils sont capables quand leur survie est menacée de se charger en poison et de produire des substances qui ressemblent à nos anticorps. Ils ont encore de nombreux et précieux trésors à nous révéler.

Miloa utilise tous leurs talents au profit de la santé de nos fidèles amis.

Miloa, c’est aussi l’accomplissement d’une promesse. Celle que j’ai faite en mai 1994 à ma vieille chienne bouvier des Flandres, Stone. Stone, ma douce compagne, est morte d’un cancer généralisé qui a débuté au niveau mammaire et qui a atteint ses poumons. Je lui ai juré de consacrer ma vie à lutter contre les maladies qui emportent injustement nos meilleurs amis. Tous les jours, je m’applique à tenir ma promesse.

 

Docteur Vétérinaire Estelle Lhoëst,
DEA en Nutrition | DU en Phytothérapie et Aromathérapie

L’ORIGINE DU NOM MILOA ?

D’où vient le nom de Miloa ?

De mes 5 années de recherches, j’ai acquis la certitude que mon meilleur allié pour améliorer le bien-être et la santé de mes patients adorés se trouve dans les végétaux.

Par conséquent, j’ai choisi le nom d’un fruit nutritif, la pomme.

Parce que la pomme est délicieuse, bonne pour la santé, sucrée parfois acidulée ou astringente… Connaissez-vous le dicton anglais : « une pomme par jour, éloigne le médecin ? »

Savez-vous que la pomme est riche en antioxydants : quercétine, catéchines, épicatéchines, procyanidines, flavonoïdes ? Au Moyen Âge, les onguents étaient fabriqués à partir de pulpe de pomme, d’où le mot « pommade ».

Parce que la pomme est ronde, charnue, que c’est le symbole de la générosité.

Parce qu’il y a plus de 20 000 variétés de pommes dans le monde, que l’on trouve des pommes de toutes les tailles, de toutes les couleurs, de tous les goûts, et des pommiers sur tous les continents à l’exception de l’Antarctique, que c’est le fruit de la diversité et de la tolérance. Savez-vous que tous les pommiers proviennent des forêts primaires du Kazakhstan près de la frontière chinoise dans les montagnes célestes du Tian Shan ? Il y a 27 variétés de Malus Sieversii, ancêtres de toutes les pommes cultivées dans le monde, résistantes à toutes les maladies. Ces arbres apparus il y a plus de 65 millions d’années ont parfois 300 ans, ils culminent à 30 mètres et font 2 mètres de circonférence. Les ours en mangeant les plus sucrées et le plus charnues sont à l’origine de la première sélection des gourmands en disséminant dans leurs excréments les pépins. Les nomades empruntant la route de la soie ont fait le reste…

Parce que c’est le symbole de la Connaissance interdite.

Parce que c’est le symbole de l’Amour.

Parce que c’est l’emblème du meilleur groupe de musique de tous les temps ; de la ville la plus folle, la plus dynamique, la plus époustouflante au monde, et aussi parce que c’est l’icône de la société informatique dont l’innovation et la vision de son fondateur ont révolutionné le monde.

… Pour toutes ces raisons, j’ai choisi la Pomme.

La pomme en français, apple en anglais, appel en néerlandais, apfel en allemand et МНλО (milo) en grec.

La Grèce m’interpelle et me passionne depuis l’adolescence. Bien avant de découvrir la douceur de son climat, le délice de sa cuisine, la magie de ses plages, le magnétisme des sites archéologiques, le tempérament volcanique de ses habitants, la quiétude des places ombragées et le charme des villages de montagne, j’ai été subjuguée par sa mythologie, son histoire, sa langue.

J‘aime profondément la Grèce, la mère de notre civilisation. Voilà pourquoi, tout naturellement, j’ai choisi le grec…

 

Docteur Vétérinaire Estelle Lhoëst,
DEA en Nutrition | DU en Phytothérapie et Aromathérapie